LECTURE DE L’ECRITURE – REVELATION 3:19-22

« Me voici ! Je me tiens à la porte et je frappe.

– Apocalypse 3:20

Les blagues sur les coups peuvent être amusantes et amusantes – et pourtant certaines peuvent induire des gémissements. Mais le coup frappé à la porte par Jésus dans sa lettre à Laodicée n’était pas une plaisanterie.

Comme nous l’avons appris, les Laodicéens étaient si mal en point que Jésus a menacé de les cracher de sa bouche. Mais il frappe aussi gracieusement, désireux d’accorder son pardon et de se joindre à ses disciples dans le banquet préparé pour tous dans le royaume éternel de Dieu.

Cette invitation s’est poursuivie tout au long de l’histoire. Les croyants qui répondent à cette invitation sont des pécheurs sauvés par l’étonnante grâce de Dieu, restaurés et revivifiés par Jésus. Il est à la droite de Dieu le Père, qui est, qui était et qui sera toujours. Nous pouvons trouver du réconfort en cela aujourd’hui, demain et toujours.

Comme Jésus l’a expliqué, il réprimande et discipline ceux qu’il aime. Lorsque vous sentez son amour à votre égard, il frappe à votre porte, vous appelle à la repentance et vous offre une vie réelle et pleine. N’attendez pas et ne tardez pas à vous souvenir. Repentez-vous et obéissez.

La personne repentante est accueillie par la présence de Jésus, « l’Amen, le témoin fidèle et véritable », qui se tient à la porte de son cœur, attendant sa réponse. Lorsque son appel est reçu par un cœur repentant, Jésus promet d’entrer et de manger avec cette personne, en profitant du banquet du royaume. La scène est celle de la victoire, du salut et d’une vie pleine avec le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois. Ce n’est pas une blague !

Sauveur bien-aimé, merci d’être venu non seulement pour m’inviter à ton banquet, mais aussi pour donner ta vie afin de payer pour mon péché. Aide-moi à vivre fidèlement pour toi. Amen.

Evan Heerema