APPORTER LA PAIX

LECTURE DE L’ÉCRITURE – GENÈSE 8:6-22

Quand la colombe revint vers lui le soir, elle tenait dans son bec une feuille d’olivier fraîchement cueillie ! Noé sut alors que l’eau s’était retirée de la terre.

– Genèse 8:11

Vous avez peut-être vu une image ou un logo représentant une colombe avec un rameau d’olivier dans son bec. Cette image s’inspire de notre lecture d’aujourd’hui. Au fil du temps, l’image d’une colombe apportant une partie d’un olivier est devenue un symbole de paix.

Lorsque nous regardons de plus près le passage d’aujourd’hui, il devient clair que Noé ne s’est pas contenté d’attendre passivement de bonnes nouvelles, des nouvelles pacifiques. Il a d’abord envoyé un corbeau, un oiseau robuste qui volait « de long en large », mais qui n’est apparemment pas revenu dans l’arche, probablement parce qu’il a trouvé beaucoup de charognes à manger. Noé a ensuite envoyé une douce colombe, un oiseau plus vulnérable, à la recherche de signes de croissance. Puis il attendit attentivement.

La colombe revint bientôt parce qu’elle « ne trouvait pas d’endroit où se percher ». Noé la ramène donc dans l’arche pendant sept jours. Puis, lorsqu’il a renvoyé la colombe, elle est revenue le soir avec une feuille d’olivier. Cela signifiait que les eaux du déluge s’étaient retirées jusqu’à un niveau sûr où les hommes et les animaux pouvaient à nouveau prospérer et s’épanouir, jouissant du shalom (paix) dans le monde de Dieu.

En réfléchissant à cela, examinons comment nous pourrions participer à l’instauration de la paix dans le monde de Dieu. Nous contentons-nous de dire que nous voulons la paix, ou œuvrons-nous intentionnellement en ce sens, même de manière modeste, voire vulnérable ? Partageons-nous également la bonne nouvelle de Jésus, qui apporte la paix et le repos aux cœurs fatigués des gens ?

Seigneur, aide-nous à être des porteurs de paix dans ce monde, pour l’amour de Jésus. Amen.

Julia Prins Vanderveen