LE BON TYPE DE RIRE

LECTURE DE L’ÉCRITURE – GENÈSE 17:17 ; 18:1-15

Abraham se dit en riant : « Un fils naîtra-t-il à un homme de cent ans ? Sarah enfantera-t-elle à l’âge de quatre-vingt-dix ans ? » . . . Sarah rit. . .

– Genèse 17:17 ; 18:12

Tous les rires ne sont pas bons à prendre. Il y a un rire qui se moque et qui blesse. C’est le rire du dédain et de la dérision. Il n’est pas agréable de se faire rire au nez.

En revanche, le fait de rire avec de bons amis peut apporter la guérison. Il s’agit d’un rire joyeux qui accompagne les célébrations : le rire de l’émerveillement, de l’amusement et de la stupéfaction.

En deux occasions différentes, nous lisons que des rires ont éclaté après l’annonce par Dieu de la naissance d’un enfant pour Sarah et Abraham. Dans la Genèse 17, nous lisons qu’Abraham rit, et dans le chapitre suivant, Sarah rit aussi. Il s’agit d’un rire d’étonnement et de stupéfaction, mêlé d’un soupçon d’incrédulité. Ils ne riaient pas nécessairement de Dieu, mais plutôt d’un plan qui semblait si peu plausible. Dieu leur avait été fidèle, mais ils n’étaient pas tout à fait sûrs de croire que Dieu ferait l’impossible. L’année suivante, l’enfant de la promesse est né et ils l’ont appelé Isaac, ce qui signifie « rire » (Genèse 21:1-7). Leur rire de doute s’est transformé en un rire de célébration et de louange.

Où voyez-vous Dieu à l’œuvre de manière étonnante aujourd’hui ? Réfléchissez à la manière dont cela peut apporter un sentiment de joie et de célébration aux personnes qui vous entourent.

Dieu de grâce et de joie étonnantes, chasse nos doutes et nos peurs. Transforme notre deuil en danse, nos pleurs en rires. Aide-nous à croire que tu feras toutes choses nouvelles. Amen.